Il demeure jusqu’à la Révolution française dans cette branche de la maison de Bourbon. L’une d’elles, Charlotte-Marguerite de Montmorency, femme d’Henri II de Bourbon-Condé, reçoit le domaine de L’Isle-Adam qui passe ainsi à la maison de Condé, branche cadette de la maison de Bourbon. Il finance de nombreux travaux de voirie et d’embellissement et fait figure de père du L’Isle-Adam moderne. Résidant beaucoup en Languedoc, le prince Armand fait tout de même venir à L’Isle-Adam des missionnaires joséphites pour desservir la chapelle du château, la maladrerie et occuper ce qui est actuellement le musée Louis-Senlecq. C’est Armand de Bourbon-Conti, fils cadet, premier prince de Conti, qui reçoit le domaine de L’Isle-Adam. Il agrandit le domaine de L’Isle-Adam en 1746 des seigneuries de Stors, de Villiers-Adam et de Mortefontaine à Parmain. Jamais L’Isle-Adam n’a été aussi proche du pouvoir royal que durant cette période. On y installa aussi l’école de garçons jusqu’en 1985. Depuis, l’enseignement primaire a été concentré dans les bâtiments de la Chatelaise construits en 1908 pour les filles et les enfants de la maternelle.
En effet, les attaques répétées sur l’abbaye d’Almenêches, dans ce qui n’est pas encore la Normandie, obligent le repli de ses biens à Moussy-le-Neuf et le transfert des reliques de saint Godegrand et de sa sœur sainte Opportune. Les seigneurs de L’Isle-Adam (voir plus bas) demeurent longtemps sous la suzeraineté de l’abbaye et sous celle des comtes de Beaumont. Henri Ier et Henri II de Montmorency préfèrent résider en Languedoc, qu’ils gouvernent, plutôt qu’en leur seigneurie de L’Isle-Adam. L’Isle-Adam devient alors pleinement une possession des Montmorency. Claude de Villiers, frère cadet de Charles de Villiers tente, en vain, de contester les droits d’Anne de Montmorency sur la châtellenie en 1535. Le roi Henri II visite le connétable en ses terres de L’Isle-Adam avant son sacre en 1547 puis, la même année, à deux autres reprises. À la suite du changement d’équipe municipale, le complexe sportif va être transformé en une cité sportive, la piste d’athlétisme va être refaite avec 2 couloirs supplémentaires ainsi que les aires de sauts et l’éclairage va être adapté par rapport aux deux couloirs supplémentaires, un éclairage de 1 000 lux va éclairer les 8 couloirs de la piste. Son fils Louis-François de Bourbon-Conti dit le Père-Prince, seigneur de 1727 à 1776, éprouvé par la mort de son épouse Louise-Diane d’Orléans en 1736, passe deux années de retraite en son château de L’Isle-Adam où il s’adonne à la chasse, loin de la Cour.
La châtellenie prend petit à petit le nom de L’Isle-Adam puis l’île elle-même prend ce nom. Jean de Villiers est le père de Philippe de Villiers de L’Isle-Adam (1464-1534) qui n’est pas seigneur de L’Isle-Adam, car fils cadet mais trouve sa place en tant que grand maître de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem à Rhodes d’où il assure le transfert à Malte. La transaction se fait en ces termes : Louis XVI devait avoir la nue-propriété des seigneuries de l’Isle-Adam, Nogent, Valmondois, Parmain, Jouy-le-Comte, Champagne, Presles, Fontenelle, Boulonville, Stors, Chaumont-en-Vexin, Trie, Mouy, Méru, Mantes, Meulan, Pontoise, Auvers, Beaumont, Chambly, etc. Un cimetière l’entoure jusqu’en 1842. Les ruines de l’église de Nogent sont quant à elles démolies en 1860. Son emplacement, à l’angle de la rue de la Madeleine et de la sente de l’ancienne église de Nogent, est toujours indiqué de nos jours. Son frère, Louis de Villiers, comte-évêque de Beauvais en 1487, entame la construction d’une seconde église dédiée à saint Martin entre le château et Nogent (l’actuelle église de la ville). Le cardinal de Richelieu vient en 1630 baptiser Armand de Bourbon-Conti au château et le cardinal Mazarin y assiste à son mariage fastueux avec sa propre nièce en 1653. Alors que ce dernier était seigneur de L’Isle-Adam, de 1650 à 1672, deux incendies ravagent l’église saint Martin en 1661 et le château en 1669. La princesse de Conti Anne-Marie Martinozzi loge alors à Parmain durant les réparations et l’embellissement de l’édifice.
Guillemette ne quitte pas Pontoise et vend, avant de mourir sans enfants, à Pierre de Villiers, futur seigneur de L’Isle-Adam, la seigneurie de Valmondois. Ansel III, premier seigneur à utiliser le nom de L’Isle-Adam, fonde la léproserie Saint-Lazare en 1228, transformée en ferme en 1668 et aujourd’hui disparue (elle était située au niveau de l’actuel numéro 54 de la rue Saint-Lazare. Affiliée au comité français interfédéral dès 1918, la LOFA permet à ses membres de participer à la Coupe de France dès sa deuxième édition, en 1918-1919. Le Stade lavallois intègre la Division d’Honneur (DH) Ouest, le premier échelon régional et à l’époque plus haut niveau amateur. ↑ « Résultats électoraux du premier tour et du second tour », sur ministère de l’intérieur. Dans ce souci défensif est érigé en 865 le premier fort sur l’île du prieuré, non loin du village de Nogent. Le château fort est occupé par les Anglais en 1358, puis délivré dans l’année par les seigneurs du Vexin. Cette intersaison débutera néanmoins par les ventes des meilleurs joueurs de la précédente saison comme Samuel Grandsir ou encore Christophe Hérelle. Une nouvelle fois annoncé parmi les relégables, le Stade lavallois étonne de nouveau tout le monde lors de la saison 1982-1983. Après une bagarre farouche avec l’AS Monaco, champions en titre, les Lavallois dament le pion aux joueurs de la Principauté et arrachent la cinquième place, synonyme cette saison-là de qualification pour la Coupe UEFA.
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