De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale. Après la seconde révolution industrielle la banlieue se transforme, les villes s’urbanisent plus ou moins vite selon le rythme de leur industrialisation, les importants mouvements migratoires entraînent des bouleversements démographiques, En France, en 1931, la population urbaine dépasse la population rurale et la population de cette banlieue devient de plus en plus ouvrière. Un monument rappelle cette libération au carrefour du Vivray. Cette croix pattée à quatre branches de longueur égale date de l’époque romane et avait la fonction d’une borne. Parmi sa population active, L’Isle-Adam ne compte que quatre agriculteurs en 1999, ce qui statistiquement, équivaut à 0 % des 15 ans et plus. Alors que la population de la ville avait progressé d’environ 217 % entre 1793 et 1946, elle fait un bond de 168 % entre cette date et 1999. L’explosion démographique propre à la période du baby-boom et à l’urbanisation de ce qui constitue aujourd’hui l’aire urbaine de Paris est cependant moins forte dans la petite agglomération de L’Isle-Adam et de Parmain (qui compte aujourd’hui environ 16 000 habitants en 1999) que, à titre de comparaison, dans celle, pourtant plus au nord, de Persan et de Beaumont-sur-Oise (actuellement environ 18 000 habitants) ou que dans la seule ville de Taverny, à l’ouest de la vallée de Montmorency, qui totalise 25 000 habitants.
Alors que Persan, Beaumont-sur-Oise ou Taverny ont pris des modèles de développement et d’urbanisme propres aux banlieues de Paris de grande couronne, L’Isle-Adam et les communes qui l’entourent ont fait le choix dans la seconde moitié du XXe siècle d’un développement fondé sur la qualité de vie. Article détaillé : Élections municipales de 2014 dans le Val-d’Oise. Article détaillé : Élections municipales de 2020 dans le Val-d’Oise. Enfin, un centre psychiatrique, la clinique des Points-Cardinaux, est implanté dans le hameau de Stors, ainsi qu’un institut médico-éducatif pour enfants déficients dans le château de la Faisanderie. Henri Desgrange (L’Auto) est plus radical encore dès 1925 : « Que les jeunes filles fassent du sport entre elles, dans un terrain rigoureusement clos, inaccessible au public : oui d’accord. Les Britanniques sont également déterminants dans l’introduction du football en France. L’objectif de la parution de ce classement est de lancer un appel mondial aux instances influentes du monde du Football afin de porter l’inscription du Football au Patrimoine Culturel Immatériel adopté par l’UNESCO en 2003. Cette candidature multi nationale a pour vocation d’être la plus universelle de toute l’histoire des Nations Unis en unissant 185 états avec le plus soutien de personnalités politiques, économiques, culturelle et sportive.
Le parc d’activité de la Molette a été créé en 1925, avec pour vocation d’accueillir principalement l’industrie lourde. Ces destructions permettent cependant l’aménagement du parc Manchez, de l’école Balzac et le développement immobilier du parc de Cassan dans la décennie suivante. Autre activité notable, les garages et concessionnaires automobiles sont plutôt bien implantés dans la commune. Les grands ensembles sont assez présents dans la commune à la suite de l’industrialisation et de l’urbanisation de la banlieue parisienne, entre le milieu des années 1950 et le milieu des années 1970. Ils sont marqués par un urbanisme de barres et de tours inspiré des préceptes de l’architecture moderne. Citons également des auteurs comme Pierre Bourgeade (Le Football, c’est la guerre poursuivie par d’autres moyens chez Gallimard en 1981) ou le plus léger René Fallet (Le Triporteur chez Denoël en 1951) sans oublier les pionniers Henry de Montherlant (1895-1972), Jean Giraudoux (1882-1944) et Albert Camus (1913-1960) qui introduisent le football dans la littérature. Les moyens mis à la disposition des autres clubs grandissent. Quatre centres hippiques sont implantés dans la ville.
Le 23 août, une semaine avant de quitter la ville, les Allemands fusillent quatre jeunes résistants en forêt de L’Isle-Adam ; une stèle leur rend hommage sur la route Conti, à l’entrée du domaine des Forgets. Les travaux de gros œuvre démarrent en août 2013 pour une durée estimée de trente mois. En addition à une programmation grand public, des programmes d’arts et d’essais et des films en version originale y sont projetés. Elle y jouxte une crèche, un espace jeune et une salle polyvalente. La population adamoise est moins jeune que la population francilienne (hommes et femmes confondus on recense 37,5 % de 0 à 29 ans en 1999 à L’Isle-Adam contre 40,45 % en moyenne dans la région). Le même jour vers 17 h, les troupes américaines entrent sans combat dans la ville en provenance de Mériel. Le 30 août, les troupes ennemies quittent définitivement la ville en empruntant le chemin qui les y a conduites, par Parmain puis Champagne-sur-Oise. Outre la plage et le cercle de voile fluviale (CYVIA, Cercle de Yachting à Voile de l’Isle-Adam), éléments incontestables de rayonnement pour la commune, on trouve également à L’Isle-Adam une piscine (reconstruite en 2008) partagée avec la ville de Parmain.
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